•  Parole:

                                      SHIVER

    Tatoe... owaru koto no nai kanashimi ga anata ubatte mo
    Hanarete yuku kokoro nado koko ni wa nai to itte

    Kakeyotta senaka ni toikakeru asu ga donna katachi de mo
    Yuruganakatta no wa mou shinjiru koto wo wasuretakunakatta kara
    Me wo sorasu kuse mo aimai na kaitou mo waraenu uso mo
    Tonari ni inakereba imi sae nijinde yuku

    Tatoe... owaru koto no nai kanashimi ga anata ubatte mo
    Hanarete yuku kokoro nado koko ni wa nai to itte

    Toosugita kono kyori wo umeru kotoba ga mitsukaranai
    Sugisaru kisetsu no naka de oitsukenaku naru koto mo shitteta yo
    Omoidasu yori mo wasurerarenai hibi to ieta kara
    Mou kore ijou ga nakute mo uketomereru

    Douka modoru koto no nai toki ni namida wo nagasanaide
    Wasurete yuku kokoro nado koko ni wa nai to itte kureru nara

    Ushinai de shitta futari no asu ni anata ga naiteru
    Yatto mireta sugao ni wa mou furerarenai

    Tatoe... owaru koto no nai kanashimi ga anata ubatte mo
    Wasurenaide "sayonara" ga uso to omoeta hibi wo
    Hitorikiri de mita sora mo surechigau naka de mita yume mo
    Ano hi no mama nani mo kawarazu
    Anata no naka de ima mo zutto...

     

     

    Traduction:

                                     Frisson

    Même si... la tristesse éternelle t'emporte au loin,
    Dis-moi que nos coeurs ne sont pas séparés ici.

    Je t'ai poursuivi pour savoir ce que sera demain, et quoi qu'il soit,
    Je n'ai pas vacillé car je ne voulais pas oublier ce en quoi je croyais.
    Mon habitude de détourner les yeux, les réponses ambiguës
    Et les mensonges répandront leur sens en moi si tu n'es pas près de moi.

    Même si... la tristesse éternelle t'emporte au loin,
    Dis-moi que nos coeurs ne sont pas séparés ici.

    Nous n'avons pas trouvé les mots pour combler la trop grande distance
    Entre nous, et je me savais incapable de te rattraper au fil des saisons.
    Je savais que les jours paraissent inoubliables lorsqu'on se les remémore,
    C'est pour ça que je peux les accepter même si il n'y en aura plus d'autres.

    S'il te plaît, ne verse pas de larmes si je ne reviens pas,
    Si tu ne me dis pas que l'on oubliera nos coeurs ici.

    Tu pleures dans le lendemain que nous avons découvert de nos pertes.
    Je vois finalement ton visage découvert, mais je ne peux plus le toucher.

    Même si... la tristesse éternelle t'emporte au loin,
    N'oublie pas les jours où tu ne croyais pas aux « Au revoir ».
    Le ciel que tu regardais seul, et les rêves où nous nous croisions
    Restent comme ils étaient ce jour-là, rien ne change
    En toi, maintenant et à jamais.


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